les fleur du malle
...pour retrouvé le tant perdu qui c'est enfuit
14 mai 2012
Homage a l'Albatroce
10 mai 2012
L'unsoumi
Toute tes craime de boter.
Pour te distrere, rien a fair.
2 mars 2010
Courire toujours courire pour quoi fer ? Mourire
Quant elle croise ton regare, et que tu croise son regare, c'est un peu un moment d'eterniter que tu a echanger elle le finfon de la nuit.
Et sa, pour rien au monde je ne voudrer les changer contre un moment futil du présant, de l'éterniter du présant qui n'est que la mort du passer.
26 févr. 2010
A travère l'espace et le tant
20 mars 2009
L'avenir du future
Devant moi, ce sont des mures d'imeuble, qui m'en ferme comme dans une cage. Il y a des filmes comique comme la "cage aux foles", moi je me sans vraimant dans la cage au fou, et c'est moi dans le role du fou. Je suis fou de quoi, croyais-vous ? Peut-etre juste de liberter. Juste fou de liberter.
Je pense a tout les enfant du monde qui se leve le matin et qui vois des mures. Parfois ce son des mures symbolic, parfois de son des mures psycologic. Ce sont des mures de leur chambre. Avec des postaires des suppos du stare systaime et ils ont leur cerveau lavé. Ils sont propre dans leur tete mais ils ont les mains salles, en faite. Le monde se divisent en deux, ce qui te mette dans des mures, et ce qui sont dans les mures, et ce qui veules en sortire.
Je me souvient des controlleure de bus qui m'on attraper. je voyais dans leurs oeils leur plaisir de me privé de liberter. Il voulait me maitre en quatre mures. Ils voulait me privé d'horison. Ce son les forces de l'ordre, mais moi je suis les force du désordres. Je veux me dressé et lancé une nouvelle antifada.
Paritre or des mures ! Encore et toujoure, je veux vivre libre, libre ou mourire. Je prefere etre salle dans ma tete et propre dans mes mains. Je veux faire tombé les mures, tous les mures. Les mures symbolic, les mures psychologic, les mures des chambres. Et a leur place dressé le decore de l'horison.
8 déc. 2008
Mon portrais, sans concetion
Voici ce que je me reproche, sans aucune concétion :
1) Je suis trop un transijant enver moi meme ou mes ami. Par example, je ne supporte tellemand pas l'unjustice que je me conduis de magnere anormal.
Je suis capable de me bagaré pour defandre la liberter, et parfois c'est dur pour mes ami car il me conpare a un chien fou ou un cheval sauvage undonpté. ils me dise : "arrete un peu ton combas permanand contre l'unjustice, un jour tu va te ferre mal". Je sais, je reponts, mais la justice c'est un truc qui me tiens a choeur. je ne peut pas conetre le repos ou dormire tranquilmand quand je sait qu'il y a de l'unjustice.
Alor mes ami me dise : "tu va vraimand loin dans ta lute, ta colaire est trop energic, on ne peux pas te suivre tu doigt te sentire si solitère, mais commant fait tu ?" oui, c'est vraie je me cent seul parfois quand meme, et j'y pense dans la nuit a mon caractaire tro en tier, je me dit que c'est un vraie handicape.
2) je suis trop attacher a ma liberter. La liberter c'est inportant. Je ne suporte pas d'etre en chené. c'est dure d'etre comme sa, parce qu'il y a plin de fachiste qui ment toure.
Je comprand les resistents dans les montagnes qui se sont enfuyé pour se caché, a mangé du miel et des pom de pain toute la journé, comme Bouba le petit ourson, parce qu'ils aimer vraimand leur liberter. Je comprand ce que sa fait. Partire dans la natur, revé, un fuzzy a la main, et luté pour la liberter.
Tous les gens me dise : "tu sait on t'aime et on tas de mire beaucoup, on aimerer te voire plus souvand parce que on aime vraimand discuté avec toi et échangé tes idées sur la vie, mais des foies tu es seul quand tu pare dans la nature, mais sa parce que tu aime trop la liberter". Ils soufre et je ment veux de les ferre soufrire. Aimé trop la liberter aussi, c'est un handicape.
3) je suis trop lusside. La lussidité c'est un don ou bien pluto une maledixion. Parfosi quant mes ami voie un mure en ville, il ne voye qu'un mure, mais moi je voit un mure qui nous saipare. Un mure qui fais des frontiere, dans la rue et surtou dans nos tete. Moi je panse au mure de merlin qui est tomber parse que les gens ont été tro lusside ils se sont dit : "sa sufi, maintenand il faut de la liberter". Je suis un peu pareille pré a tout cassé.
Quant on vois des employer des metro ou des bus, ou des controleures, on voie des employer, mais moi je voit des fachistes. on finira tous controler, bientot il faudra des tiquet pour vivre.
Je voit trop de chose, trop la veriter autoure de moi, et l'hipocrisi. Mes ami me dise : "mais ta tete va éclaté avec toute sept lussidité, vraimand on te plin." Alor je sais que sa fait peure, c'est un handicape, je leur demende : "mais s'est moi qui vous fais peure ou bien c'est la liberter ?". Alors il ne dise rien, ils refleshisse et ils disent : "bon cent tu a raison, encore une foie, on a peutetre peure de la liberter en faite."
Voilà apres tout ces défeau que j'ai étaler sans concetion, je ne sait pas s'ile va resté quelqun pour m'aimé, mais j'avait besoin de confecé mes défaus, c'est dure mais c'est comme sa quant on nez un transijan.
28 nov. 2008
Vivre libre ou mourire
Atension, je ne parle pas des vrai prisonnié qui on comis un crime, certins mairite vraimand ce qu'il son fais, je parle des chenes dans nos tete que les autre nous inpause. Je parle de l'exclavage sinbolique.
Le veritable exclavage pour resumé, il et dans nos tete.
Moi je conte m'en libéré grasse a la creassion. Je croix vraimand que s'esprimé, c'est sortir de nous c'est devenir libre de soi meme.
Je suis contant, je croix avoir trouver mon titre pour me premier roman, sans doute : « les enfant de la tourmante (resistance(s)) » Je ne suit pas sure de maitre resistance entre parenteze, je trouve que sa fait un peu compliquer hors moi je pense que la liberter c'est simple et qu'il faut gardé un peu de simplissité, comme si ont gardé son ame d'enfant.
Quant je comanseré de l'ecrire, j'hesite a maitre des estrait ici, je n'amerer vraimand pas qu'ont me dairobe mes idée et que quelqun d'autre est du suxcé et gagne de l'argeant a ma plasse. Franchemand sa m'enervez vraimand.
Aller, a plus mes lecteurs fidel.