5 mai 2008

Ma liberté de pensé

Aujourdui, je me suis fais controlé par les controleur du métro. J'avait vraiment la rage au font de moi. Vraiment. La rage de vivre, la hainen, la rage de vincre, la rage de me vengé, la rage de la rage. C'est quoi ce pays de liberter ? Franchement, on se croyerais à Vichi pendant la guerre de Vichi, où bien à Moscou pendant la guerre de les ninegrad.

11 commentaires:

  1. Merveilleux ! j'adore, vraiment ! Et mes dents grincent de jalousie de n'y avoir pas pensé avant vous.

    Mais, si ça se trouve, j'aurais pas su le faire. Si ça se trouve, hein, je veux dire.

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  2. « on se croyerais à Vichi pendant la guerre de Vichi »

    Celle-là, en la relisant avec Catherine, j'ai repiqué mon petit fou rire (c'est la saison, pour les repiquages, c'est elle qui me l'a dit).

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  3. sa me laisse quoi de stupe et faction !
    :-)

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  4. Oh glandu que je suis ! Je ne suis même pas abonné à mes propres commentaires ! J'ai découvert vos d'interventions en lisant Didier Goux...

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  5. grandiose... J'aplaudis des demain
    branvo et longue vit à mallbemeyr.

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  6. oua zyva c tro pas just tu trich en vrai tekri tro pa kom ssa, tsé, zyva koi c enkor toa ki va gagné le festival des blog nase avek 1 truk chanmé comme ça;, komen t'abuse tro, tu pouré etre gallan avek lé filles de ta catégori.
    pi moa ossi g la raj kan je vé dan le métro é zyva j'le racont pas pour que tou l'monde il l'sait. carass...

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  7. Et après, c'est moi qu'on traite de fou...

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  8. Attention à l'orthographe dans les commentaires, on est pas dans un skyblog tout de même.

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