14 mai 2012

Homage a l'Albatroce

Ce poeme est dedicacer a Charles Baudelere

Albatroce, le plus grand des oisaux.
Albatroce qui été le mètre des sieux.
Toi qui voler dans les air 
Avec ta fierter
Tout en faisand preuve de resper

Albatroce, unique en ton genre
Avec ta personaliter et ta sensibiliter
Tu t'acepter toujoure comme tu été
Avec des défaux et des qualiter

Dans le ciel etoiler
Ou le jour en soleiller
Tu n'avez qu'un seul butte 
La recherche de ta liberter
De volley dans les aires libre comme un oiseau sauvage
Sauvage dans les nuage

Pourquoi tont il fais sa ?
Les hommes cruelle et sauvage habiter par le male
Il ton atraper Il tont capturer Il tont fait prisonier
Pour te torturrer et te priver de ta liberter

Toi qui été avant le prince ailé et undompter il ton fait du male par pur gratuiter
Comme des foux enrager
Juste par amoure de la cruauter
De torturer des animaux qui ne lui on rien fais
Sans doute la jalousi de te voire volley
Alore que eux, pas il ne pouver

Il ont beau t'araché les plumes
Tu sera venger
Par la plume de mon clavier

Je t'en fais la promaisse
J ecrirer ton nom sur les mures de la ville enprisonier
Pour te résussiter a tous jamais

Tu reviendra le matin de la pocalipse
Pour un fliger la punission bien meriter
A tout ses hommes qui ton fait soufrire
Et persone ne seras la pour les plindre
Ils mourirons tous dans les flames 
Avec des cris atrosses et les boilleaux qui sortirons de la bouche
Et les oeils qui éclaterons 
Et tous le monde qui seras bien carboniser
Par des bombe à tomique
et des tir de bazouqua
Il n'aurons plus de fierter
Et regreterons d'avoir manquer de resper

Mais sa sera trop tare
Il fallait y panser avant
Avant de ce moquer
Alore toi qui lit ces lignes profétic
Reflechi bien avant de te moquer
De ce qui sont épri de liberter
Car un jour tu pourrer le regreter
Les oisaux pourer t'attaqué

L'albatroce vangeur et sans pitier

10 mai 2012

L'unsoumi

L'été peut bien revenire avec son lot de belle journés en soleyé. 
De tous ce bon tant qui fait plaisire a voire.
Et a sentire. A sentire le boneure qui vibre dans son core.
De tout ses rayons qui brille comme les cri des enfans joilleux.

Mais il ne faux pas oublié que le destin tout au boue c'est la Mort qui nous attant.

Oui.

Elle a un sourire terible comme un sourire de la fataliter.
Elle ne pardone jamait, elle n'oublit jamait.
Toi qui croyer lui echapé avec tout tes artifisses.
Toute tes craime de boter.
Toute tes operation de chrirugie estétiques.
Tout ce botosc qui tu t'inject comme le toxicommane s'inject la drogue dangeureuse de la jeunaisse.
En espairant resantir du plasire dans les paradi artifissiels.

Les paradi fiscos artiffissiels.

Mais qui tout au boue est cronfronter a ces dezillusion.
Et cri alore sa rage dans la nuit avec de la douleure.
De la soufrance.
Et de la pene.

Parce qu'on va tousse mourire. 
Et l'est l'unique veriter.
Celle qui gouvairne le monde en tier.
Tu aura beau tenté d'argumanté ou de discuté.
En vin.
Sa ne changeras rien du tous.

Tu aura beau regardé des jeu a la tv
L'eau piom du peuple.
Pour te distrere, rien a fair.
Tu ne pourra pas y echapé.
Meme en acumuland de l'argeant dans tes banks.

Mais moi je regarde au dela des ilusions.
La realiter toute brut.
Qui brule comme le soleille regarder en fasse.

Je reste fidaile a moi meme
Avec mes defauds. Mes qualiters.
Comme si la mort été un controlleur 
et que je suis en frode de la vie.
Toujours rebel.
Et unsoumis.

2 mars 2010

Courire toujours courire pour quoi fer ? Mourire

Les gens sont presser, il ne prenent pas le temps de vivre. Ils veullent vivre comme s'ils avait dèja vécus, il veullent etre mort avant d'etre vivant. Ils ont tous des objet trop moderne comme si ses objet viver a leurs places ! Sa c'est sure, il ne manqueron pas de gadget et d'autre objet inutile le jour de la fin du monde. 

Moi je dit stope. Ses objets et ses gadet qui pansent à notre place, il faus savoire dire non. Je prend le temps pour ma pare. Je prend le tant de vivre. Juste vivre. M'écouté ma respirassion. Le coeur qui bas au font de ma poitrine.

Je sais quand la nuit étand son blanc mentaux sur la ville en dormis, je sais regardé le détaille du ciel. Je sais croiser le regare d'une étoile.

Le regare d'une étoile.

Quant elle croise ton regare, et que tu croise son regare, c'est un peu un moment d'eterniter que tu a echanger elle le finfon de la nuit.

Et sa, pour rien au monde je ne voudrer les changer contre un moment futil du présant, de l'éterniter du présant qui n'est que la mort du passer.

26 févr. 2010

A travère l'espace et le tant

Je n'ai jamais était interesser par le succer et la reconessance. Je fait mon chemin, dans mon coin, de mon coter, loin des contrintes et des clicher. Parfois les gens on des heuyeres qui leurs cache la vision du monde. Il parle comme s'il daitener la veriter, mais au font, ou es la veriter ? Ou es la normaliter ? Et qu'esse que c'est que tout ses consepts, toute ses lois qu'on nous imposent ? Moi tranquillemant sans rien demandé a persone, je trasse mon chemin droi devent. Au bout du chemin on vera, celui qui daitient la veriter, celui qui detient le savoire. Apres on en reparleras, quant ce serat la fin du monde et qu'ont seras tous crever. Rira moins qui fera moins le malain.

20 mars 2009

L'avenir du future

Parfois le matin, j'ouvre ma fenaitre, et je voie l'horison. Mais il n'y a pas d'horison, souvant, il y a des mures. Partout des mures. Comme des mures de la honte.

Devant moi, ce sont des mures d'imeuble, qui m'en ferme comme dans une cage. Il y a des filmes comique comme la "cage aux foles", moi je me sans vraimant dans la cage au fou, et c'est moi dans le role du fou. Je suis fou de quoi, croyais-vous ? Peut-etre juste de liberter. Juste fou de liberter.

Je pense a tout les enfant du monde qui se leve le matin et qui vois des mures. Parfois ce son des mures symbolic, parfois de son des mures psycologic. Ce sont des mures de leur chambre. Avec des postaires des suppos du stare systaime et ils ont leur cerveau lavé. Ils sont propre dans leur tete mais ils ont les mains salles, en faite. Le monde se divisent en deux, ce qui te mette dans des mures, et ce qui sont dans les mures, et ce qui veules en sortire.

Je me souvient des controlleure de bus qui m'on attraper. je voyais dans leurs oeils leur plaisir de me privé de liberter. Il voulait me maitre en quatre mures. Ils voulait me privé d'horison. Ce son les forces de l'ordre, mais moi je suis les force du désordres. Je veux me dressé et lancé une nouvelle antifada.

Paritre or des mures ! Encore et toujoure, je veux vivre libre, libre ou mourire. Je prefere etre salle dans ma tete et propre dans mes mains. Je veux faire tombé les mures, tous les mures. Les mures symbolic, les mures psychologic, les mures des chambres. Et a leur place dressé le decore de l'horison.

8 déc. 2008

Mon portrais, sans concetion

J'ai vraimand decider de de me maitre a nue, car des foies, je me sent vraimand torturer d'etre si un suportable. Je me trouve souvant detestable, orible, comme si j'été maudis. j'ai envi de me jeté a la poubel. je comprendré vraimand si tout les gens ne m'aimer pas heuresemant que ce n'es pas le cas.

Voici ce que je me reproche, sans aucune concétion :

1) Je suis trop un transijant enver moi meme ou mes ami. Par example, je ne supporte tellemand pas l'unjustice que je me conduis de magnere anormal.

Je suis capable de me bagaré pour defandre la liberter, et parfois c'est dur pour mes ami car il me conpare a un chien fou ou un cheval sauvage undonpté. ils me dise : "arrete un peu ton combas permanand contre l'unjustice, un jour tu va te ferre mal". Je sais, je reponts, mais la justice c'est un truc qui me tiens a choeur. je ne peut pas conetre le repos ou dormire tranquilmand quand je sait qu'il y a de l'unjustice.

Alor mes ami me dise : "tu va vraimand loin dans ta lute, ta colaire est trop energic, on ne peux pas te suivre tu doigt te sentire si solitère, mais commant fait tu ?" oui, c'est vraie je me cent seul parfois quand meme, et j'y pense dans la nuit a mon caractaire tro en tier, je me dit que c'est un vraie handicape.

2) je suis trop attacher a ma liberter. La liberter c'est inportant. Je ne suporte pas d'etre en chené. c'est dure d'etre comme sa, parce qu'il y a plin de fachiste qui ment toure.

Je comprand les resistents dans les montagnes qui se sont enfuyé pour se caché, a mangé du miel et des pom de pain toute la journé, comme Bouba le petit ourson, parce qu'ils aimer vraimand leur liberter. Je comprand ce que sa fait. Partire dans la natur, revé, un fuzzy a la main, et luté pour la liberter.

Tous les gens me dise : "tu sait on t'aime et on tas de mire beaucoup, on aimerer te voire plus souvand parce que on aime vraimand discuté avec toi et échangé tes idées sur la vie, mais des foies tu es seul quand tu pare dans la nature, mais sa parce que tu aime trop la liberter". Ils soufre et je ment veux de les ferre soufrire. Aimé trop la liberter aussi, c'est un handicape.

3) je suis trop lusside. La lussidité c'est un don ou bien pluto une maledixion. Parfosi quant mes ami voie un mure en ville, il ne voye qu'un mure, mais moi je voit un mure qui nous saipare. Un mure qui fais des frontiere, dans la rue et surtou dans nos tete. Moi je panse au mure de merlin qui est tomber parse que les gens ont été tro lusside ils se sont dit : "sa sufi, maintenand il faut de la liberter". Je suis un peu pareille pré a tout cassé.

Quant on vois des employer des metro ou des bus, ou des controleures, on voie des employer, mais moi je voit des fachistes. on finira tous controler, bientot il faudra des tiquet pour vivre.

Je voit trop de chose, trop la veriter autoure de moi, et l'hipocrisi. Mes ami me dise : "mais ta tete va éclaté avec toute sept lussidité, vraimand on te plin." Alor je sais que sa fait peure, c'est un handicape, je leur demende : "mais s'est moi qui vous fais peure ou bien c'est la liberter ?". Alors il ne dise rien, ils refleshisse et ils disent : "bon cent tu a raison, encore une foie, on a peutetre peure de la liberter en faite."

Voilà apres tout ces défeau que j'ai étaler sans concetion, je ne sait pas s'ile va resté quelqun pour m'aimé, mais j'avait besoin de confecé mes défaus, c'est dure mais c'est comme sa quant on nez un transijan.

28 nov. 2008

Vivre libre ou mourire

Je penser hier soir : s'il ya une chose que j'aime vraimand par dessus tous, c'est ma liberter. Je ne pourrer vraimand pas vivre en chainé comme un exclave ou comme un prisonié.

Atension, je ne parle pas des vrai prisonnié qui on comis un crime, certins mairite vraimand ce qu'il son fais, je parle des chenes dans nos tete que les autre nous inpause. Je parle de l'exclavage sinbolique.

Le veritable exclavage pour resumé, il et dans nos tete.

Moi je conte m'en libéré grasse a la creassion. Je croix vraimand que s'esprimé, c'est sortir de nous c'est devenir libre de soi meme.

Je suis contant, je croix avoir trouver mon titre pour me premier roman, sans doute : « les enfant de la tourmante (resistance(s)) » Je ne suit pas sure de maitre resistance entre parenteze, je trouve que sa fait un peu compliquer hors moi je pense que la liberter c'est simple et qu'il faut gardé un peu de simplissité, comme si ont gardé son ame d'enfant.

Quant je comanseré de l'ecrire, j'hesite a maitre des estrait ici, je n'amerer vraimand pas qu'ont me dairobe mes idée et que quelqun d'autre est du suxcé et gagne de l'argeant a ma plasse. Franchemand sa m'enervez vraimand.

Aller, a plus mes lecteurs fidel.