8 déc. 2008

Mon portrais, sans concetion

J'ai vraimand decider de de me maitre a nue, car des foies, je me sent vraimand torturer d'etre si un suportable. Je me trouve souvant detestable, orible, comme si j'été maudis. j'ai envi de me jeté a la poubel. je comprendré vraimand si tout les gens ne m'aimer pas heuresemant que ce n'es pas le cas.

Voici ce que je me reproche, sans aucune concétion :

1) Je suis trop un transijant enver moi meme ou mes ami. Par example, je ne supporte tellemand pas l'unjustice que je me conduis de magnere anormal.

Je suis capable de me bagaré pour defandre la liberter, et parfois c'est dur pour mes ami car il me conpare a un chien fou ou un cheval sauvage undonpté. ils me dise : "arrete un peu ton combas permanand contre l'unjustice, un jour tu va te ferre mal". Je sais, je reponts, mais la justice c'est un truc qui me tiens a choeur. je ne peut pas conetre le repos ou dormire tranquilmand quand je sait qu'il y a de l'unjustice.

Alor mes ami me dise : "tu va vraimand loin dans ta lute, ta colaire est trop energic, on ne peux pas te suivre tu doigt te sentire si solitère, mais commant fait tu ?" oui, c'est vraie je me cent seul parfois quand meme, et j'y pense dans la nuit a mon caractaire tro en tier, je me dit que c'est un vraie handicape.

2) je suis trop attacher a ma liberter. La liberter c'est inportant. Je ne suporte pas d'etre en chené. c'est dure d'etre comme sa, parce qu'il y a plin de fachiste qui ment toure.

Je comprand les resistents dans les montagnes qui se sont enfuyé pour se caché, a mangé du miel et des pom de pain toute la journé, comme Bouba le petit ourson, parce qu'ils aimer vraimand leur liberter. Je comprand ce que sa fait. Partire dans la natur, revé, un fuzzy a la main, et luté pour la liberter.

Tous les gens me dise : "tu sait on t'aime et on tas de mire beaucoup, on aimerer te voire plus souvand parce que on aime vraimand discuté avec toi et échangé tes idées sur la vie, mais des foies tu es seul quand tu pare dans la nature, mais sa parce que tu aime trop la liberter". Ils soufre et je ment veux de les ferre soufrire. Aimé trop la liberter aussi, c'est un handicape.

3) je suis trop lusside. La lussidité c'est un don ou bien pluto une maledixion. Parfosi quant mes ami voie un mure en ville, il ne voye qu'un mure, mais moi je voit un mure qui nous saipare. Un mure qui fais des frontiere, dans la rue et surtou dans nos tete. Moi je panse au mure de merlin qui est tomber parse que les gens ont été tro lusside ils se sont dit : "sa sufi, maintenand il faut de la liberter". Je suis un peu pareille pré a tout cassé.

Quant on vois des employer des metro ou des bus, ou des controleures, on voie des employer, mais moi je voit des fachistes. on finira tous controler, bientot il faudra des tiquet pour vivre.

Je voit trop de chose, trop la veriter autoure de moi, et l'hipocrisi. Mes ami me dise : "mais ta tete va éclaté avec toute sept lussidité, vraimand on te plin." Alor je sais que sa fait peure, c'est un handicape, je leur demende : "mais s'est moi qui vous fais peure ou bien c'est la liberter ?". Alors il ne dise rien, ils refleshisse et ils disent : "bon cent tu a raison, encore une foie, on a peutetre peure de la liberter en faite."

Voilà apres tout ces défeau que j'ai étaler sans concetion, je ne sait pas s'ile va resté quelqun pour m'aimé, mais j'avait besoin de confecé mes défaus, c'est dure mais c'est comme sa quant on nez un transijan.